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Aujourd’hui, le behaviorisme appartient à l’Histoire. Son influence a décru à partir des années soixante-dix à la suite, notamment, des critiques de Noam Chomsky. Il est peu à peu remplacé par le cognitivisme, à partir des années 80 aux Etats-unis et des années 90 en France. De nos jours, on ne rencontre plus guère de défenseurs du comportementalisme radical tel qu’il était prôné par Skinner ou Watson.
Les critiques adressées au behaviorisme sont multiples et issues de différents courants de la psychologie et des sciences humaines. On reviendra ici sur les critiques formulées par les psychanalystes et les cognitivistes.
La thérapie rationnelle émotive (en anglais REBT pour Rational emotiv behavior therapy) est une thérapie comportementale inventée par Albert Ellis (voir article à ce sujet) au milieu des années cinquantes.
Le cas du petit Albert, réalisé en 1920 représente un des travaux les plus célèbres de Watson mais également un des plus critiqué.
Voici une vidéo réalisée par Makushime (de son vrai nom Maxime Alexandre), un étudiant canadien. Elle expose de manière parodique, le schéma d’apprentissage de type « stimulus-réponse » découvert par Watson. C’est drôle et en plus cela reste fidèle à la théorie
Après la découverte du conditionnement opérant (voir article à ce sujet) comme modèle de l’apprentissage, des expériences ont été menées pour tenter de mettre en lumière le rôle de la motivation sur l’apprentissage.
Le conditionnement est au centre des théories comportementales. Il existe deux types de conditionnement : le conditionnment classique et le conditionnement opérant.Le conditionnement classique a été introduit par I.Pavlov.
Albert Ellis (Septembre 1913 – Juillet 2007) est le psychologue américain qui a développé à partir de 1955 la Thérapie rationnelle-émotive. Il est considéré comme l’un des pères des thérapies cognitivo-comportementales (TCC).
